2016/11/17Sainte Tulle – Pierrevert
Rando animée par Rolande LECOMTE
Notre rando ? Une boucle de 11 kms entre Sainte Tulle et Pierrevert.
Nous partîmes 17… et nous arrivâmes à bon port… à 17.
Je ne vois d’ailleurs pas où notre cheftaine de marche aurait pu nous perdre, sur onze kilomètres, avec un dénivelé de 320 mètres, mais, sait-on jamais….
Une marche de rêve ! Aucune difficulté à l’horizon, un merveilleux automne, un ciel parfait, et un insolent soleil, ce qui a mené certains audacieux à tenter le seul T-shirt. Pour un 17 novembre, fallait le faire !
Après une montée à une collinette qui n’a pas réussi à nous impressionner, nous avons croisé une réserve d’eau pour incendie qui se donnait un genre tumulus celtique, puis, sur les lieux d’un vieil incendie, des restes de troncs à qui des artistes locaux avaient plus ou moins voulu donner forme humaine. Par charité chrétienne, nous avons qualifié leurs œuvres d’« art brut » !
Peu avant Pierrevert, sur une petite hauteur, une très jolie vieille chapelle, très (trop ?) restaurée, au milieu d’une forêt encore jeune de muriers-platanes. Chapelle dédiée à st Patrice. Du coup, notre Patrice a, bien entendu, pris la pose devant l’entrée de son domaine imaginaire.
Arrivée à Pierrevert sur des airs de carillons de midi et arrêt repas dans une aire de jeu bien tranquille. Personne du groupe, hélas, même parmi celles ou ceux qui étaient restés très jeunes de caractère n’a voulu tâter du toboggan. Dommage ! Une belle photo de ratée !
Déjeuner sur un banc, au soleil, je vous dis pas ! Le pied !
Et nous avons donc… déjeuné ? Dégusté ?
Un conseil ! Si vous ne voulez pas grossir en marchant, ne venez pas à l’ADRI ! Après un apéro, (vin au basilic ou à l’hysope), une kyrielle de desserts : saucisson au chocolat (voui madame !) puis gâteaux divers et variés. Il manquait bien un petit pousse-café, mais enfin, rien n’est parfait dans ce bas monde.
Un retour bavard et sans problèmes à travers les vignes mordorées, avec découverte d’une curieuse grosse maison au toit improbable, genre ferme-château bourguignonne, ou datcha russe, bref, une chose tout à fait insolite. Dans un pré attenant, deux magnifiques alezans noirs. (Vous ne trouvez pas que « alezan » fait quand même plus classe que bêtement : « cheval » ?)
Puis ce fut le retour sur Ste Tulle, avec une tour horlogère sans horloge, une fontaine ronde vraiment ronde mais sans eau, et enfin, un magnifique lavoir couvert très bien restauré, juste avant de retrouver nos voitures enchâssées dans un tapis somptueux de feuilles de platane mordorées. (Faut ce qu’il faut !)
Il était tôt… Les joueurs de pétanque nous narguaient, mais comme nous avions oublié nos boules…
Merci Rolande et Jean Pierre !
Jacques TENNERONI
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Catégorie : Randonnées - 4- Randos archivées-2016
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