2019/09/19 Le parcours des fées, Crévoux
Jeudi 19 septembre 2019
Parcours des fées, la Chalp de Crévou (05)x.
Rando ZEN animée par Brigitte Guillot.
7 km, 240 m, 12 participants.
Douze, sous la houlette ô combien bienveillante de Brigitte et d’Henri, à nous aligner sur la
ligne de départ, à 1800 mètres d’altitude, au fin fond de la Chalp de Crévoux, vallée perdue
au dessus d’Embrun.
Douze, pour suivre le « Parcours des Fées » circuit « artistique » concocté par l’association
« Fées d’hiver », (ah ah ah !).
Douze enfin, à avoir tournicoté plus de deux heures en bagnoles pour arriver là-haut, avec
quelques âmes sensibles pour qui les tournants détournaient le cœur.
Mais enfin, nous y étions et il faisait un temps superbe, avec juste une petite fraîcheur pour
nous donner du cœur au ventre. Bien agréable tout ça. Et ce n’était pas les deux cents mètres
de dénivelés qui allaient nous faire peur, d’autant qu’il nous fallait quand même faire bonne
figure face à notre doyenne de 90 ans bien sonnés, mais toujours la jambe légère.
Nous sommes donc partis sur un petit sentier bien sympa bordé de mélèzes encore bien verts,
à la rencontre des œuvres d’art qui devaient jalonner notre parcours tout en nous faisant prendre
conscience du désastre écologique qui assombrissait notre planète.
Bon, l’art moderne, comme le disait un vieil adrien de mes amis, « y’a du pour et y’a du contre ».
On a plutôt commencé par du contre : Des cabines cacadous envolées cul par-dessus tête dans les
arbres n’ont guère soulevé de spasmes d’admiration, ni l’embrouillamini de fils électriques censés
représenter notre ignominieuse société capitaliste. Par contre, la cabane de berger restaurée, avec
son toit en plexi glace, où l’on pouvait, la nuit, regarder les étoiles, la couvée de méduses blanches
antédiluviennes dévalant une pente, une araignée azimutée tissant sa toile entre les arbres sur tout
un arpent de forêt… Original.
Bref, nous nous sommes bien amusés, même si la peur infondée de lourds nuages sombres venus
d’Italie, nous a coupés d’une petite sieste d’après repas.
Par contre, à l’arrivée, le cake de Brigitte aux reines-claudes de son jardin…ouah !
Les absents avaient bien eu tort.
Bon, après, il a fallu quand même rentrer, tournicoter, reretournicoter, mais enfin, c’est la vie, non ?
ligne de départ, à 1800 mètres d’altitude, au fin fond de la Chalp de Crévoux, vallée perdue
au dessus d’Embrun.
Douze, pour suivre le « Parcours des Fées » circuit « artistique » concocté par l’association
« Fées d’hiver », (ah ah ah !).
Douze enfin, à avoir tournicoté plus de deux heures en bagnoles pour arriver là-haut, avec
quelques âmes sensibles pour qui les tournants détournaient le cœur.
Mais enfin, nous y étions et il faisait un temps superbe, avec juste une petite fraîcheur pour
nous donner du cœur au ventre. Bien agréable tout ça. Et ce n’était pas les deux cents mètres
de dénivelés qui allaient nous faire peur, d’autant qu’il nous fallait quand même faire bonne
figure face à notre doyenne de 90 ans bien sonnés, mais toujours la jambe légère.
Nous sommes donc partis sur un petit sentier bien sympa bordé de mélèzes encore bien verts,
à la rencontre des œuvres d’art qui devaient jalonner notre parcours tout en nous faisant prendre
conscience du désastre écologique qui assombrissait notre planète.
Bon, l’art moderne, comme le disait un vieil adrien de mes amis, « y’a du pour et y’a du contre ».
On a plutôt commencé par du contre : Des cabines cacadous envolées cul par-dessus tête dans les
arbres n’ont guère soulevé de spasmes d’admiration, ni l’embrouillamini de fils électriques censés
représenter notre ignominieuse société capitaliste. Par contre, la cabane de berger restaurée, avec
son toit en plexi glace, où l’on pouvait, la nuit, regarder les étoiles, la couvée de méduses blanches
antédiluviennes dévalant une pente, une araignée azimutée tissant sa toile entre les arbres sur tout
un arpent de forêt… Original.
Bref, nous nous sommes bien amusés, même si la peur infondée de lourds nuages sombres venus
d’Italie, nous a coupés d’une petite sieste d’après repas.
Par contre, à l’arrivée, le cake de Brigitte aux reines-claudes de son jardin…ouah !
Les absents avaient bien eu tort.
Bon, après, il a fallu quand même rentrer, tournicoter, reretournicoter, mais enfin, c’est la vie, non ?
Jacques Tenneroni
Pour voir les photos : Cliquez ici.
Date de création : 24/09/2019 : 20:19
Catégorie : Randonnées - 4- Randos archivées-2019
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